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L25 - Il pleut, elle mouille...

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1L25 - Il pleut, elle mouille... Empty L25 - Il pleut, elle mouille... Dim 13 Jan - 16:00

Kafka

Kafka

Moon a écrit:Moon est restée longtemps seule dans le désert, cela fait longtemps qu'elle n'avait pas goutée au plaisir d'être désirée par un homme... fut il un homme au gout douteux, macho, et a l'hygiène douteuse.

Et quand bien même, les jours qui suivirent son intégration, elle finit par trouver le latino au cheveux frisé "haut en couleur", il mettait de l'animation, et c'est ce qui manquait le plus dans ce désert a la con.

Aussi, ne manquait elle pas une occasion de se dandiner sous ses yeux, et de jouer les allumeuses, sans jamais l'avouer ouvertement.

Elle marchait souvent a coté de lui, et s'immisciait dans ses conversations, avant de filer, lorsqu'il s'interressait a elle de trop prés, et surtout, elle ne s'offusqu'a jamais de ses blagues et allusion salaces, mais au contraire en rit.

Plus elle voyait l'homme devenir dingue, et plus cela l'amusait, après tout, c'était une occupation comme une autre non ?


Kafka a écrit:Se recentrer. Méditer. Être modéré. Trouver dans l'apaisement la vérité du Soi et du Tout pour ne faire qu'un dans la Béatitude et se défaire de la bassesse du monde matériel pour s'épanouir dans l'immatériel. La Zénitude. En gros, tout ce dans quoi Kafka n'est absolument pas doué. Mais alors vraiment pas.

Etrangement, la survie avait pris le pas sur tout le reste. Quoique pas si étrangement, finalement... Le petit frisé avait toujours été un survivant. De la naissance à aujourd'hui, il lui avait toujours fallu survivre et on ne lui avait jamais facilité la tâche. Il avait dû se la faciliter tout seul. Argent facile, filles faciles. Comme ça qu'il avait créé son petit empire, dans l'ombre du grand, du temps de Prague. Et si, là encore, la survie se jouait au jour le jour, il ne manquait par contre pas de filles. Ses filles. Ses gagneuses. Et puis tout était parti en couille. A bien des égards. Se retrouver dans ce désert avait tout changé. TOUT. A commencer par l'absence des petites facilités qu'il s'était créé... Repartir de zéro. Les évènements ont fait le reste : survivre avant tout. Puis elle s'est pointée. La garce. Moon. Elle et sa plastique qui lui a pété à la gueule comme lui ont pété à la gueule ses longues, interminables semaines d'abstinence. Combien ? Depuis combien de temps est-il dans ce désert à la con ? Vingt ? Vingt-cinq semaines ? Auxquelles il faut rajouter ses semaines ou mois d'isolement dans cette foutue cellule où on l'avait enfermé avant de se retrouver là... Ça lui a soudain pété à la gueule, ouais. Et dans le slibard.

Cependant, malgré son exubérance et sa grande gueule, le moustachu sait relativement se tenir et, hormis quelques mains baladeuses sur le derrière de Jansen en guise de prêté pour un rendu, personne n'a eu à se plaindre, jusqu'ici, que Kafka s'égare. Pas plus dans sa vie d'avant que dans celle-ci. Alors, ça aurait pu en rester là. Ça aurait pu ne pas déraper. Sauf que... Sauf que Moon aimait jouer. Que ce soit parce qu'il lui plait, parce qu'il est ce qu'elle a pu trouver de mieux dans les parages par dépit ou que ce soit simplement pour le plaisir de plaire importait peu, finalement. Ce qui importait, c'est qu'il était la cible de son jeu. Un jeu qui pouvait s'avérer dangereux par les temps qui courent...

Aussi con qu'il pouvait paraître, Kafka connaissait les filles comme Moon - ou pensait les connaître. Elle voulait qu'on la regarde. Qu'on s'intéresse à elle. Besoin d'attention. Si ça devait passer par le désir, pourquoi pas ? Il savait quoi lui donner pour la satisfaire mais, surtout, savait quoi ne pas lui donner pour inverser les rôles : l'ignorer. Et que ce soit pour les raisons citées ou non, c'est exactement... ce qu'il ne fit pas. Mais alors vraiment pas.

Les pérégrinations du petit groupe les ont enfin éloignés du fameux pont, conduits vers l'Est, proche de l'océan. Le climat y est différent, bien qu'il fasse toujours chaud et que cet été s'éternise... La pluie, salvatrice, s'est enfin invitée à la fête et a conduit la plupart des membres du groupes à s'abriter sous leurs tentes pour cette halte de nuit. La plupart. Pas tous. Moon est certainement un surnom mais peut-être est-ce lui qui la pousse à préférer le clair de lune, même sous la pluie. Elle craint de toute façon bien plus le chaud que le froid, ça ne fait aucun doute. Bien qu'elle préfère mettre en chaleur que refroidir, ça ne fait là non plus aucun doute. Elle est en tous cas là, sous la pluie, dormante - ou faisant mine - à même le sable ou sur son anorak, dans son bikini du jour... ou du soir... son bikini pyjama... son pyjakini ? Bref, elle est là, allongée près d'un rondin de bois flotté sur lequel est assis celui qui l'observe. Kafka. Lui ne porte pas de bikini. Ni de pyjama. C'est nu qu'il l'observe. A poil serait plus juste tant, comme ont pu le constater ses camarades lors d'un bain, il est poilu. Sa chevelure drue, brune et frisée se reconnait sur la quasi entièreté de son corps... Un gorille humain, nerveux, teigneux, dépassant tout juste le mètre soixante. C'est à ça que ressemble Kafka quand on lui retire son attirail. Lors de ce fameux bain, ses camarades ont aussi pu noter autre chose le concernant... Kafka est bourrin sur bien des aspects ! Littéralement monté comme âne. Un Gorillâne. Un animal en rut, donc, finalement, avec des yeux noirs et brillants qui fixent la bimbo... tandis qu'il se branle. Ouvertement.


Moon a écrit:Moon dort sous a la belle étoile, son blouson lui servant d'oreiller. Lorsqu'elle s'est  couchée, il ne pleuvait pas encore, au contraire, lla chaleure était étouffante, et l'air plus sec que le coeur d'un pillards du désert...

Elle rêve elle est en train de chercher sa salle de cours, elle est en retard, il faut se dépécher ! Elle doit trouver sa sale de cours, mais elle a oubliée de s'habiller ! Elle est en string au milieu du lycée, et les garcons la regardent en bavant, ils ont tous la même tête, frisé, et avec une moustache... C'est alors que le lapin blanc vient lui taper sur l'épaule

"-Hey Miss cul nu, tu me donne ton bikini ? Tu me donne ton bikini ? Tu me..."

Elle ne peux pas lui donner son bikini, elle serait toute nue et les garçon baveraient encore plus ! D'ailleurs ou sont ils ? Ils ont disparu... La pluis lui tombe dessus, elle doit se mettre a l'abris, elle courre dans les flaques, çà fait "flatch flatch flap fap fap fap...

Elle ouvre les yeux...

Elle ouvre les yeux, mais le bruit persiste "fap fap fap fap fap"...

Elle bouge l'égèrement, ne comprenant pas ce qu'il se passe, elle sent juste une ombre, et la présence de ... KAFKA ! Il est tout nue et il la regarde on dirait ... il ... Il se branle ??? C'est quoi se délire ?!

Elle hésite, elle a envie d'exploser de rire, envie de le giffler, envie de fuire, envie de réveiller tout le camp... Mais d'un autre coté... Elle l'a allumée san vergogne, et elle s'est amusée a le rendre fou... Et bien voilà... Il a réagit comme un fou.

Il a d'ailleurs l'air complétement possédé, tout nu, plein de poil, a se tripoter comme çà assis a coté d'elle ! On dirait plus une bête qu'un homme... C'est son coté animale qui l'attire d'ailleurs... Bien que là, elle a été dépassée par ses attentes !

Elle hésite, elle n'a pas envie de l'humilier, et d'une certaine façon, une réaction aussi extrême et inattendue la conforte dans al fascination qu'il exerce sur elle. Il n'a pas les mêmes limites que la plupart des gens, il est ... a part. Et il suffit a rendre le désert moin morne.

Elle se tourne donc sur le dos, et ouvre les yeux, sans rien dire, tournant simplement son regard vers le sien, mais ne bougeant pas, se disant que peut être, la voyant reveillée, il battra en retraite, et ira finir ailleurs ce qu'il a commencé.


Kafka a écrit:Il ne détourne absolument pas le regard. Pas un instant. On se demanderait presque s'il est encore capable de cligner des yeux. Qu'elle se soit réveillée n'a rien changé. Les réactions qui ont traversé le visage de l'étudiante en science des massages, qu'il y ait prêté attention ou non - il semble tout de même que oui -, n'y ont rien changé. Qu'elle lui dévoile le côté face, après qu'il se soit délecter à son insu du côté pile, n'y a rien changé. Il reste là, à la fixer de ses yeux noirs sous des sourcils qui se froncent toujours plus, tandis que ses lèvres pincées sont agitées de tics nerveux. Et à se branler, tout aussi nerveusement.

Parfois, son regard croise celui de la belle. Et il ne semble aucunement gêné par ce qu'il fait, ou par la situation. Il semble juste concentré sur ce qu'il fait. Sur ce qu'il a à faire. Parfois... souvent, en fait, son regard dérive et dévore le corps offert à sa vue, brillant sous les éclats de gouttes d'eau. Tout cela prend peu de temps, bien que ça puisse paraître affreusement ou agréablement long, à l'un ou à l'autre... Il n'émet qu'un bref grognement en se laissant tomber du rondin pour attérir à genoux, près d'elle, sans cesser ses va et viens. Au contraire... les accélérant. Il grogne un peu plus, son regard se fait plus fou, sa respiration, nasale et bucchale, s'emballe, se saccade... Quand ses lèvres se descellent enfin en un long râle - qui semble bien se foutre de réveiller tout le monde ou non - accompagnant sa délivrance ! Une délivrance sous forme de pluie dont les gouttes, plus épaisses, se mêlent aux gouttes d'eau glissant sur le ventre de la rêveuse. Les muscles du petit frisé velu se relâchent tout comme il lâche, d'une voix brisée, son sempiternel :

- Putain d'merde...

Un soupir, d'aise, avant qu'il ne reprenne son souffle le temps d'une seconde à peine... Puis il se relève et enjambe la jeune femme comme s'il était déjà passé à autre chose, se dirigeant, à poil sous la pluie, vers sa propre tente de fortune, ne glissant qu'un étrange :

- A demain, Moon.

Avant de disparaître sous la toile.


Moon a écrit:Moon non plus ne détourne pas le regard, elle ne dit rien elle l'observe simplement, c'est un moment très étrange en soi, elle si calme, a moitiée endormie encore, et lui , se branlant frénétiquement a quelques centimètre d'elle.

Elle tressaille lorsqu'il se laisse tomber a genou à coté d'elle, et qu'il se termine dans un râle, se vidant les couilles sur elle, dans un râle comme une grorille blassé.

Elle le regarde faire, ne l'empêche pas, elle se cambre même, , légèrement plus sexy, alors qu'il se soulage de toute la frustration qu'elle a susciter en lui...

Une fois qu'il a terminé, elle le regarde posant sa main sur les jets gluant qui maculent son ventre, et tout en regardant les étoiles, les étalent en répondant, le yeux perdu dans les nuages.

"-A demain Kaf..."

Depuis quelques temps, elle l'appelle Kaf.


Moon a écrit:Le lendemain matin de leur petite aventure nocturne, Moon n'a pas moins envie de jouer qu'avant, au contraire, elle ne laissera pas le pauvre Kafka profiter de son "soulagement". Alors qu'il sort de sa tente, elle s'approche de lui, dans son poncho en laine, la lance à la main, et sans crier gare elle s'approche de son oreille, pour y glisser

- La prochaine fois, vise ma bouche, ca évitera de devoir faire des lessives...

Elle glisse son string rose, maculé de sperme, après qu'elle se soit nettoyée avec la nuit d'avant.

- Rend le moi quand il sera propre...

Elle s'en va ensuite, un sourire au lèvre, en roulant du cul, lui jetant un dernier regard pour voir la tête qu'il fait


Kafka a écrit:Quand l'homme sort de sa tente, il est aussitôt agressé. Par la lumière du jour, hein. Encore que ce soit pas vraiment le grand soleil habituel. Petits yeux, traces du "drap" qui lui balafrent le visage et reste d'une coulée de bave séchée, au coin des lèvres, qui descend vers son bouc... Petite nuit, petite nuit. Mais un peu comme après la pluie vient le beau temps, après le soleil, voilà déjà la lune. Miss Poncho, fraîche et dispo, qui susurre à son oreille. Et lui de marmonner :

- Ouais ben pour faire des lessives, putain d'merde, faudrait déjà qu'tu portes plus qu'un strin... Ah.

L'objet du délit déjà posé dans sa main avant qu'il n'ait terminé sa remarque, il écoute la sentence de la belle. Il fronce un sourcil, hausse l'autre, mais déjà Moon et sa lune bien ronde et ondulante s'éloignent avec un regard par-dessus l'épaule... Ce qui lui permettra sans doute de voir un Kafka vaguement décontenancé, dont les yeux noirs vont de la rousse au sous-vêtement souillé à de multiples reprises, avant qu'il ne hoche la tête et fourre le string dans sa poche. Une chance qu'elle en ait d'autres parce qu'elle est certainement pas prête de revoir celui-ci de sitôt.

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